Monstres et power rangers
Paris, le 22 avril 2017.
Un journaliste du Huffington Post m’a proposé de parler de quelques monstres des powers rangers. Voici quelques réflexions qui me sont venues.
Paris, le 22 avril 2017.
Un journaliste du Huffington Post m’a proposé de parler de quelques monstres des powers rangers. Voici quelques réflexions qui me sont venues.
Paris, le 7 novembre 2016.
Réussissant à s’imposer comme un genre de plus en plus lucratif, le cinéma dit d’horreur est en passe également d’obtenir aujourd’hui une légitimité auprès de la critique et de la théorie. Déplaçant le regard d’une manière originale, le philosophe Eric DUFOUR, évite dans ce livre les apories de l’analyse classique de type historique ou typologique, [...]
Cet article a été écrit en 2007 en collaboration avec la critique et metteur en scène de théâtre Diane Scott (http://www.lescorpssecrets.fr/), puis fut publié sur le site Oedipe.org.
Saw est une franchise de films d’horreur, et peut être classé dans le sous-genre nommé « Torture-porn », qui a un peu trop le vent en poupe ces temps-ci… Le premier de la série, réalisé par James Wan, est sorti en 2005. Depuis, un par an pour Halloween… Le septième, tourné pour la 3D, est sorti en novembre 2010. Il existe également deux jeux vidéo issus de la franchise, sortis respectivement en novembre 2009 et octobre 2010.
Norway of Life, sorti en 2007, me paraît un bon exemple de ce que le cinéma de genre peut offrir lorsqu’il ne cède pas aux sirènes de ce sous-genre.
Cet article a été écrit à la sortie du film « Morse » en 2009. Il a été publié sur le site « Comment c’est qu’on ment », canard de psychanalyse engagé (voire enragé…). En effet, le traitement qu’il fait du thème du vampire associé à celui du passage de l’enfance vers le terres parfois chaotiques de l’adolescence m’est apparu particulièrement intéressant pour parler donc, d’une part de cette arrivé du pubertaire, et d’autre part, plus généralement, de ce que le film de genre (et celui du fantastique, de l’horreur en particulier) permettait de mettre en oeuvre comme figuration des angoisses de cette période.
Un remake américain de ce film suédois est sorti en 2010, « Let me in ». Réalisé par Matt Reeves. Celui-ci est plutôt raté. Et ce qui est pour moi la scène clé de l’original ne s’y trouve plus. Sûrement parce qu’elle dérangeait un peu trop…