Notes sur « Une histoire de machines, de vampires et de fous » – Episode 5

Revenons au livre précédent, avec la question pourquoi lire Une histoire de machines, de vampires et de fous ?

Quelques mots sur ce qui m’intéresse plus précisément dans ce livre. Sa thèse m’intéresse dans le sens où, d’une part, elle me semble heuristique par rapport à la lecture que l’on peut faire des œuvres de fiction qui nous entourent. Œuvres contemporaines, ou bien, œuvres qui appartiendraient encore à un imaginaire plus classique. On verra pourquoi plus loin.

D’autre part, sa thèse me semble rejoindre (mais je ne sais pas encore exactement comment) une question, à savoir celle du lien/appareillage/branchement aux machines, à travers la question du corps. Les jeux vidéo sont intrigants en effet quant aux questions qu’ils peuvent soulever sur la façon dont on peut vivre le fait d’être incarné dans un corps. Ayant l’intuition que le jeu vidéo permettrait une sorte d’expérimentation de la possibilité de subjectiver son corps différemment, au travers de ce lien à la machine, je me demande en quoi ce que développe Cassou-Noguès sur l’évolution de notre imaginaire concernant les machines peut m’aider.

Car on peut dans ce livre, trouver certaines descriptions particulièrement intéressantes autour de ce que pourrait être l’expérience que nous faisons lorsque nous jouons à un jeu vidéo.

Un exemple : « Je vois et j’entends normalement. Pourtant, l’absence de sensation avec la possibilité de mouvement me donne une impression bizarre, de ne pas me trouver dans ce corps mais de le diriger à distance, tout en restant ailleurs. »1

C’est le genre de description que Cassou-Noguès poursuivra par ailleurs dans Mon zombie et moi qu’il s’agirait également de lire attentivement afin de voir en quoi il peut nous aider sur cette même question des modifications de la subjectivité du joueur vidéoludique.

Retour à la thèse

La thèse soutenue et développée par Cassou-Noguès tout au long de sa fiction se résume ainsi :

« La thèse en est que l’imaginaire contemporain, qui parcourt la littérature comme les sciences, met en scène, parmi d’autres oppositions, un face-à-face particulier entre les deux figures de la machine et du vampire. » Mais qu’entend-il par vampire et machine ici ? Et dans quelle relation d’opposition se trouvent ces deux figures ?

La figure du vampire comme parasite

Car ce n’est pas un vampire classique auquel on a affaire dans la fiction. Le vampire que décrit Cassou-Noguès est avide de sensations humaines. C’est un être qui vit dans les images. Ils se cachent, et errent, dans les peintures ou dans les films.

Au début de cette aventure, le héros est donc mordu par un vampire, et se retrouve projeté littéralement dans le monde de la peinture. Il s’aperçoit qu’il doit d’une part se nourrir, et que d’autre part, sa nourriture se trouvent être les sensations qu’il peut capter des spectateurs qui viennent admirer les peintures dans lesquelles vivent ces vampires.

« Un homme, qui examine ensuite la mappemonde à côté de moi, le livre ouvert. Or je le sens. C’est-à-dire, j’arrive à saisir son propre corps avec les sensations qu’il éprouve. »2

Et de la même manière, pour parler, ces vampires de peinture doivent emprunter leurs mots à l’extérieur, dans la tête des gens.

Mais pire encore, si l’on peut dire, certains vampires cherchent à sortir de leur condition, à échapper au monde de l’image, pour tenter de se loger dans des hôtes humains, et coloniser leurs corps, tels des parasites.

Ainsi, Cassou-Noguès imagine une forme de vampire qui serait une type d’existence particulier, logé dans les images que nous, humains, contemplons, et qui finit par nous coloniser, en se nourrissant des sensations que le corps humain génère.

La figure de la machine

La figure de la machine permet, quant à elle, à la fois de décrire l’organisme humain, mais également, depuis l’avènement d’un imaginaire moderne (et l’on reviendra plus tard sur le passage de l’imaginaire classique à l’imaginaire moderne) la machinerie mentale.

Rappelons une manière de décrire ce que pourrait être une machine concrète ? C’est un dispositif avec deux propriétés principales :

1) une machine n’a qu’un nombre fini d’états internes qui lui sont propres. Ne définissant pas la nature de ces états internes, on peut ainsi imaginer que ces états soient des états matériels, mais aussi des états mentaux.

2) ce qu’effectue la machine à l’instant T, « son action », ne dépend que de l’état de la machine à l’instant T (son qR dans les termes de Turing) et des données qui lui parviennent via un dispositif quelconque. (Dans la machine de Turing [lire le commentaire de l'article de 1936 de Turing première partie] inspiré de la machine à écrire, ce sera le ruban découpé en cases contenant des symboles à déchiffrer. Dans le cas d’un ordinateur, ce sera un humain qui tape sur son clavier. On peut remarquer qu’une horloge est également une machine, mais qu’elle ne reçoit pas d’information de l’extérieur, son fonctionnement est donc entièrement déterminé par son état à l’instant T).

La machine comme machine mentale pose, avec Turing, certains problèmes. Dire qu’un homme en train de calculer peut être comparé à une machine (Comme dans son article de 1936) suppose que les différents états mentaux de l’esprit humain sont en nombre fini d’une part. D’autre part, cela suppose que cet homme n’agit qu’en fonction de son état mental à l’instant T, associé aux données extérieures qui lui parviennent par ses sens, et suppose enfin qu’il agira toujours de la même façon s’il se trouve dans tel état qR, avec les mêmes données extérieures.

Concevoir donc que les différents états mentaux soient en nombre finis n’est pas si aisé il me semble, en raison même de l’expérience que nous avons de notre propre esprit, qui nous pousserait plutôt à concevoir celui-ci comme une expérience du continu. Enfin de quelle nature seraient ces états mentaux internes en nombre finis ?

Certes, si l’on envisage, comme Cassou-Noguès, une machine infinie, ayant donc la possibilité d’un nombre infini d’états internes, on peut par contre continuer d’imaginer une machine mentale. Et il s’amuse ainsi à l’intérieur de sa propre fiction, avec certains personnages de fiction, tels Watson et Sherlock Holmes (qui fut traité justement par son médecin et ami d’automate et de « machine à calculer ») à concevoir justement l’existence, la condition de ces personnages à l’intérieur de leur vie de fiction.

Par contre, l’analogie du corps-machine pour représenter l’être humain parait être limitée pour Cassou-Noguès par la notion que nous avons de la pensée, et surtout du sens, ou bien par la notion que nous avons d’un dispositif matériel.

« […] je n’arrive pas à me convaincre que cette machine puisse être capable de saisir le sens des mots de la même façon que moi. Il me semble que la notion que j’ai, ou que nous avons, de la matière nous interdit de prêter à un dispositif matériel, notre corps-machine ou notre ordinateur, une expérience du sens telle que la nôtre. »3

Autrement dit, la machine (en tout cas, tel que nous la concevons encore aujourd’hui) ne semble pas pouvoir ressentir les sensations, comme nous les concevons aujourd’hui pour le monde humain, et que cette idée entraîne celle d’une machine incapable de concevoir le sens de ses expériences, et par là le sens des mots, comme un être humain.

Le vampire, être de l’image, parasite de la machine où comment s’articulent ses deux figures ?

Ainsi posées, ces deux figures se combinent selon Cassou-Noguès d’une certaine manière. Et c’est cette articulation qui me semble également intéressante.

Si une machine ne peut avoir de sensations, ou du moins, ne peut les ressentir comme un être humain (car on peut concevoir que la machinerie produise certaines sensations, mais, comme le dit Cassou-Noguès « sans personne qui les sent »4 à l’instar de toutes ces couleurs qui nous environnent sans nécessairement personne pour le voir), le vampire, qui s’installerait confortablement dans une machine, pourrait, lui, s’en nourrir.

« […]nous sommes tous habités par les figures auxquelles nous nous identifions et sur lesquelles nous modelons notre comportement. Ce sont tous les personnages croisés au cinéma, dans les romans et sur les tableaux. Ils vivent en nous et nous agissons comme ils le veulent. Nous reprenons leurs gestes et leurs mots selon la situation. Nous faisons ce qu’ils feraient. Sans que nous le sachions, ils restent au fond de notre tête et nous dictent nos conduites. »5

Pourrait-on considérer ces êtres de l’image comme justement une reviviscence d’un mode de pensée où l’image d’un homme, la peinture de celui-ci comportait quelque chose de vivant. Searles dans son livre « l’environnement non humain » décrit à partir du livre de Mead et Calas, Primitive heritage, une culture où les « figurations de l’art, peintures, sculptures, ou modelages » sont aussi réelles que les modèles à partir desquels ces images ont été conçues. (p.60 et 61)

Je pense aussi à Bernard Stiegler dans « La technique et le temps 3, le temps du cinéma et la question du mal être » lorsqu’il parle du film « Mon oncle d’Amérique » où les personnages du film sont montrés comme agissant dans certaines situations, grâce à ou complètement vampirisés par, certaines séquences de films appartenant à l’histoire du cinéma.

http://www.dailymotion.com/video/xeu0gh_mon-oncle-d-amerique-alain-resnais-1980_shortfilms

Cependant, il ne faut pas en conclure que Cassou-Noguès cherche à « modéliser » l’être humain par cette combinaison, cette union d’un corps-machine et d’un vampire, figure de peinture. Ce qui l’intéresse, c’est la figure du sujet, et la recherche d’une tentative pour en fixer quelques contours, cela au travers d’une analyse de l’imaginaire prenant appui sur la fiction comme on l’a vu.

« Je ne dis pas que nous sommes l’union d’une machine, d’un corps-machine, et d’une figure de peinture, ou d’un vampire, installé dans ce corps-machine. Je crois seulement que nous ne pouvons pas décrire notre subjectivité. Ce en quoi nous sommes des sujets – sujets d’une expérience, d’une pensée – notre être de sujet reste insaisissable. C’est un point d’évanouissement – je l’ai lu quelque part – qui se manifeste par ses effets mais se retire au moment où on le prend comme objet. Tout ce que nous pouvons faire alors, c’est nous comprendre à partir d’images, en nous identifiant à des objets extérieurs, à des figures imaginaires. Et, parmi ces identifications, il y a des identifications individuelles, comme celles qui installent en nous des figures de peinture, et des identifications sociales, comme celle qui nous donnent un corps de machines. En ce sens, nous sommes des machines et des vampires. Ou, peut-être, nous sommes des machines et il y a des vampires. »6

Aussi, qui me dit que mes semblables ne sont pas que des machines…

Le vampire comme échappée…

Pour finir avec cette thèse, Cassou-Noguès tente ainsi de nous montrer à quel point ces deux figures lui semblent être omniprésentes, comment elles finissent par former selon lui les deux pôles de notre imaginaire nous servant à nous comprendre. Deux pôles qui se nourrissent l’un l’autre, dans le sens où le vampire se nourrit de notre tentative pour échapper à cette conception réductrice de la machine, qui est elle-même issue de la science et dont on ne cesse de voir aujourd’hui les productions sur le plan de l’imaginaire qui structure nos œuvres de fiction.

« Je dis que Frankenstein, la machine, est la figure que la science nous donne et dans laquelle notre société doit nous maintenir, tandis que Dracula, le vampire, rassemble tout ce qui de nous échappe à cette première représentation. D’un côté, parce que l’on veut nous réduire, de l’extérieur et par une contrainte sociale, à cette machine, Frankenstein est pour nous repoussant. Et, de l’autre, le vampire, que nous ne pourrons jamais être complètement, prend quelque chose d’attirant, en même temps qu’il reste le paria, hors-la-loi et dans l’interdit. »7

Cette dernière formulation me semble être particulièrement heuristique. Et c’est pourquoi il est intéressant d’examiner à la fois les œuvres scientifiques, mais également l’imaginaire qui structure le terreau sur lequel ces œuvres évoluent. Pour Cassou-Noguès, le vampire et la
machine « appartiennent en propre à la société capitaliste. Elles en expriment la dualité essentielle. […] Frankenstein, le robot, figure de l’ouvrier qui travaille à une machine et lui-même comme une machine, tandis que le vampire est l’image du rentier qui vit du travail de l’ouvrier.»8

Le vampire comme objet a dans l’imaginaire…

Cassou-Noguès propose également une autre formulation concernant l’articulation de ces deux figures. Comme on l’a vu avec la thèse de Turing, « Lorsqu’un homme [le calculateur dans l’article de Turing] accomplit une tâche logique, c’est-à-dire une tâche réglée ou dont les
étapes sont définies par un programme fixé, comme une recette de cuisine [autrement dit, lorsqu’un homme déroule un algorithme, exécute lui-même un algorithme], il se comporte comme une machine et, en réalité, est une machine. »9

Aussi, comment pouvons-nous être certain que toute notre vie n’est pas réglée à l’avance, que toute notre vie nous n’agissons pas comme si nous déroulions un algorithme ? C’est par exemple, l’objet de certaines nouvelles de Greg Egan, lorsqu’il imagine finalement qu’un jour nous aurions la possibilité de « scanner » le cerveau pour être en mesure d’en construire le modèle informatique et pouvoir le simuler et ainsi, dans sa nouvelle « L’enlèvement »10, sauvegarder littéralement l’identité d’un individu. C’est une position réductionniste forte, un peu analogue à celle de Putnam dans les années 60, où l’on considère que tous les états mentaux sont réalisés par des configurations d’états physiques.

Ainsi, pour le logicien nous dit Cassou-Noguès, il est possible que l’homme ne soit qu’une machine. Mais il est également possible à ce logicien de concevoir que l’homme soit capable d’exécuter des tâches illogiques, de « sortir du programme » (Est-ce là par exemple la figure de Neo dans le film Matrix ?). « Il [le logicien] admet alors que l’homme est une machine, quand il accomplit des tâches réglées, associée à un dispositif susceptible de transgresser toute règle fixée. Le logicien imagine ainsi une machine accouplée à ce qu’il appelle un ‘oracle’. »11

J’ai le sentiment pour ma part que lorsqu’on se met programmer, c’est-à-dire, lorsqu’on se met à essayer de suivre pas à pas, le déroulement d’algorithmes dans leur complexité, l’on ressent bien cette possibilité de concevoir l’être humain.

Mais qu’est-ce donc que cet ‘oracle’ ? Ce dispositif qui donnerait des informations nouvelles à la machine « qu’elle ne pourrait pas obtenir d’elle-même et que, en fait, aucune machine ne pourrait toutes obtenir. […] justement on ne peut pas le définir, sinon de façon négative : tout ce que l’on peut dire de cet oracle, annonce le logicien, c’est qu’il n’est pas lui-même mécanique. Ce complément qui fait l’homme, si l’homme n’est pas une machine, échappe donc à la représentation logique.»12

Le pendant de cet échappement à la logique, au sein de l’imaginaire et de la fiction, c’est ce qui échappe à la représentation, et au miroir, c’est donc pour Cassou-Noguès, la figure du vampire.

« L’oracle, c’est le vampire qui parle à l’oreille de celui qui se voit dans le miroir logique comme une machine. »13

Je me demande comment l’on pourrait articuler, d’une part, « ce reste qui échappe à la représentation » à ce que dit Lacan de L’objet a. Et d’autre part, je me demande si cet oracle dans la logique dont parle Cassou-Noguès, représenté par la figure du vampire dans la fiction littéraire, n’aurait pas quelque chose à voir finalement avec la fonction de l’amour ? On peut rapprocher également cet oracle, ce dispositif qui échappe à la logique de la machine, au clinamen de Lucrèce qui est littéralement cette déclinaison des atomes permettant de continuer de poser de la liberté dans la description atomiste, matérialiste et donc finalement complètement déterministe de Lucrèce.

On pourrait également faire un lien entre ce dispositif qui échappe à la représentation et la question du Désir. Je me souviens que Pierre-Henri Castel avait évoqué dans son séminaire Lucrèce et le clinamen, en relation avec la question du Désir. Le désir, serait justement la possibilité de renouer avec la liberté, au sein d’un espace entièrement déterministe, entièrement mécanisable.

Cela m’apparaît d’autant plus intéressant que l’on peut noter combien la figure du vampire, comme l’instanciation de ce dispositif échappant à la représentation dans la fiction littéraire, est associée à la notion de Désir. Le vampire, qui dans son image moderne a fini par porter une charge érotique de plus en plus importante, n’est-il pas celui qui séduit, et qui se ferait littéralement objet cause du désir ?

Conclusion en forme de questions…

Je me demande en quoi Cassou-Noguès ne tente-t-il pas décrire en quelque sorte, au travers de l’imaginaire, les questions autour de l’Universel et du singulier ?

Si la machine (Frankenstein) est la forme imposée, (comme une représentation sociale ?), une figure repoussante. Le vampire serait donc pour lui une forme plus séduisante. Mais j’ai parfois l’impression que ce constat pourrait être revu ou inversé.

En effet, on pourrait se demander s’il n’existe pas une sorte de devenir-machine à l’oeuvre dans un certain nombre de situations, et par exemple dans une situation ludique comme le fait de jouer à un jeu d’arcade par exemple ?

Cassou-Noguès est un auteur qui prend au sérieux à la fois les rapports de la rationalité avec la fiction, et notre fascination pour les machines, pour la question qui me semble éminemment contemporaine, sommes-nous des machines…

  1. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.47 []
  2. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.21 []
  3. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.120 et 121 []
  4. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.142 []
  5. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.145 []
  6. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.146 et 147 []
  7. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.146 et 148 []
  8. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.149 []
  9. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.150 []
  10. Greg Egan, Axiomatique, Le Livre de Poche, 2009. []
  11. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.150 []
  12. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.150 et p.151 []
  13. Pierre Cassou-Noguès, Une histoire de machines, de vampires et de fous, Vrin, 2007, p.151 []

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2 réponses à “Notes sur « Une histoire de machines, de vampires et de fous » – Episode 5”

  1. #1. Guillaume GILLET le 7 janvier 2012 à 12 h 04 min

    Merci Vincent pour ce texte tout à fait intéressant.
    Pourquoi ne pas inclure définitivement tous ces épisodes dans un seul texte de synthèse ?
    Je trouve cette exploration du rapport au numérique très intéressante et je crois que l’inclure aussi à la suite d’une description de notre rapport au numérique et de nos réticences pourrait enfin permettre à un grands nombre de personnes d’accueillir le numérique de manière moins « crispée ».

  2. #2. admin le 7 janvier 2012 à 12 h 25 min

    Merci Guillaume de ta lecture.
    Je vais réfléchir à ta suggestion !
    Mais comme j’écris au fur et à mesure…
    Peut-être à terme, lorsque je lâcherai la chose (ou que la chose me lâchera…) je tenterais de synthétiser…

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